Méthodes de superposition et d’isolement d’éléments dans
des plans
La superposition d’éléments visuels remonte à l’aube de l’industrie cinématographique.
Avec les techniques numériques, le nombre potentiel de couches a bien sûr augmenté
(il est aujourd’hui de deux ou trois milles couches, voire plus, au lieu de deux ou trois au
début), mais ce sont les mêmes principes de base qui sont toujours utilisés. La termino-
logie employée varie d’une industrie à l’autre, mais comme le film et la vidéo se retrou-
vent fusionnés sur un horizon numérique unique, les termes deviennent de plus en
plus interchangeables.
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Partie II
Effets